19 Mars 2021
Après que la nouvelle majorité municipale a voté la non réadhésion de notre ville à l’association française des villes pour la paix, le 1er adjoint créé encore la polémique sur une cérémonie mémorielle.
Instrumentaliser la mémoire et les souffrances et les douleurs des uns et des autres, souffler sur les braises, à la veille des élections départementales et régionales en espérant en tirer quelques voix, c’’est faire preuve d’absence de décence, d’absence de compassion, d’absence d’intelligence. C’est aussi ça la droite à La Seyne.
La nation a souhaité que le jour officiel soit celui du cessez-le-feu, pour autant elle n’oublie pas les exactions commises après cette date et commémore le 5 décembre toutes les victimes et le 25 septembre les Harkis et les autres forces supplétives. Il nous paraît indispensable que nous puissions, avec solennité, dire notre volonté de paix, d’humanité, de respect des autres. C’est ainsi que le devoir de mémoire s’impose.